Cela fait déjà plus de 200 000 ans que l’homo sapiens sapiens existe sur la terre, mais aucun scientifiques n’a pu expliquer à ce jour pourquoi la mort est-elle si difficile, non seulement à supporter, mais à accepter. Pourtant, il est connu de tous que tout le monde naît, grandit et meurt un jour ou l’autre. Même avec cette connaissance, personne ne parvient à mieux gérer l’idée de mourir ou de perdre un être cher.
Cela va même encore plus loin. Chez la plupart des personnes, même si elles ont perdu des dizaines d’amis, de parents ou de proches, elles souffriront encore plus avec la perte d’un autre proche. D’autres encore souffrent même de la mort d’une personne qu’elles n’ont pas connue personnellement, comme le décès d’une personnalité publique par exemple.
Y a-t-il une raison à cette douleur, pourquoi la mort d’un être cher est si difficile ?
La mort, bien qu’elle soit naturelle, n’est pas seulement difficile à accepter et à digérer, mais elle est aussi difficile même d’en parler. Elle reste encore un sujet tabou dans certaines cultures, même en Europe. Quelle en est la raison ?
C’est à cette question et à bien d’autres que nous allons essayer de donner des éléments de réponse dans cet article. Nous allons faire un tour d’horizon complet sur ce phénomène naturel qu’est la mort, et expliquer dans les détails, grâce aux rapports de certains psychologueset spécialistes en la matière, certains aspects de la mort qui ne sont pas toujours connus de tous.
Comment expliquer le phénomène de la mort et du deuil ?
Seuls ceux qui ont déjà perdu un proche peuvent expliquer la douleur et le bouleversement émotionnel liés à cette cause. Plusieurs sentiments (la tristesse, les pleurs, la colère, le mal du pays, la frustration, l'impuissance, la solitude, etc.) sont mélangés en une seule et même chose, qui fait même mal physiquement, et peut rendre malade. Et au milieu de ce chaos vient le besoin de continuer à vivre et reconstruire notre monde sans cette personne.
La douleur de perdre par exemple un être cher est ce qui peut expliquer le type de relation que vous entreteniez, c’est une condition qui prouve que vous l’aimiez beaucoup, et cette douleur peut sembler insupportable au premier abord. Perdre une personne de notre lien social par la rupture ou la mort peut générer un état mental de tristesse, de découragement, de manque d'intérêt pour la vie, et d'énormes souffrances. C'est ce qu’on appelle le deuil, selon les spécialistes en la matière.
Comment expliquer le phénomène du deuil ?
Le deuil n'est pas exclusivement lié à la mort, il peut aussi être vécu à la fin d'une relation, dans une situation de maladie grave, la perte d'un emploi, une situation extrême ou encore en cas d'accidents graves qui entraînent une certaine forme d'incapacité. Il s'agit de situations dans lesquelles, au premier abord, semble-t-il, pour la personne qui souffre, pense qu’il s’agit de la « fin du monde ».
Cet état de souffrance extrême, la plupart du temps, ne dure pas éternellement. Surmonter le deuil se fait progressivement ; vous récupérez votre énergie avec le temps, et vous commencez à mieux vous organiser et à devenir plus fort.
Faut-il parler de deuil ou de dépression ?
Chacun gère ses sentiments et ses émotions de manière totalement différente, et chacun a sa propre façon de réagir face au deuil. Les psychiatres préviennent ceci : « essayer de se tromper, esquiver le deuil, être 'fort', faire semblant que ce n'est rien n'est pas la bonne chose à faire ». Il est préférable pour tout le monde d'apprendre de la douleur de la perte d’un être cher, de rechercher ses propres stratégies pour surmonter la douleur et de considérer que la plupart d'entre nous traversent un deuil, sans avoir besoin d'un soutien spécialisé.
Il y a des personnes qui, apparemment, ne sont pas si touchées par l'impact du deuil. C’est une catégorie de personnes qui ne pleurent pas à la veillée ou aux funérailles, elles se montrent fortes, résistantes, avec un retour à la vie quotidienne normal en très peu de temps. Parmi celles-ci, cependant, il existe un autre groupe qui, après un certain temps, commence à présenter des symptômes émotionnels et physiques pouvant évoluer vers la dépression.
Dans le processus du deuil, les symptômes et l'humeur de la personne affectée sont similaires à ceux de la dépression, à la différence que le deuil est transitoire et, en lui, nous n'avons pas l'auto-récrimination typique de la dépression. Les psychiatres soulignent cependant que la personne endeuillée, qui a perdu un proche, un membre de sa famille, un de ses amis, et autre, doit être conscient des signes qui peuvent survenir après le décès de l’être aimé, car la douleur du deuil peut évoluer en dépression, c'est-à-dire un trouble qui nécessite un traitement spécialisé.
Malgré la manière dont la mort et le deuil affecte tant de personnes, le sujet reste toujours aussi difficile à aborder. Faisons un point sur la question !
Pourquoi avons-nous si peur de la mort et comment y faire face ?
On parle peu de la mort dans notre culture occidentale et on en sait peu à ce sujet. Certainement parce qu’on ne parvient pas à répondre à des questions telles que : Qu’est-ce que ça fait de mourir ? Qu'y a-t-il au-delà de la mort ? Quand ou comment cela se passera-t-il ? Etc.
Ces questions, restées sans réponse, peuvent susciter anxiété, inquiétudes et angoisses, rendant la peur de mourir courante. C'est une peur instinctive, comme toutes les autres. Naturellement, nous cherchons à éviter la mort et nous faisons de notre mieux pour l'empêcher de se produire. La seule certitude, cependant, est que la mort va bien arriver un jour ou l’autre, d’une manière ou d’une autre. C'est inévitable ! Et c'est précisément pourquoi faire la paix avec cette peur est important pour nous, afin de nous permettre d'affronter naturellement le processus de la mort, que ce soit la nôtre ou celle des autres.
La mort et la peur : pour quelles raisons ?
À l'époque où l'homme vivait dans des grottes et avait besoin de chasser pour se nourrir, le sentiment de peur était ce qui garantissait sa survie. Imaginez que, lors de ses promenades à travers les forêts, il a remarqué un buisson qui bougeait. À l'arrière, il pourrait y avoir un lapin qui serait son déjeuner ou un jaguar qui ferait de lui son repas. La peur était un déclencheur qui générait une réaction instinctive d'attaque ou de défense. Nous avons hérité de cet instinct. La peur est donc importante car elle allume une alerte capable de générer une protection contre une menace potentielle, qui peut être réelle - comme le jaguar derrière le buisson - ou elle peut être la conséquence d'une expérience vécue auparavant - comme la peur conduite pour avoir été impliqué dans un accident dans l'enfance. Dans ce cas, le suivi d'un professionnel de la santé mentale est le bienvenu pour neutraliser le traumatisme acquis par l'expérience.
La peur ne peut encore être présente que dans notre esprit, comme pour la plupart d'entre nous. C'est parce que beaucoup de peurs sont des créations inconscientes pour éviter des situations qui peuvent nous exposer au jugement, au rejet, à l'échec et à tant d'autres malaises que nous ne voulons pas ressentir.
Ce type de peur, qui a une source plus profonde et est souvent inconsciente, est un sentiment qui est toujours projeté dans le futur, car il est le résultat de quelque chose que nous voulons empêcher, causant de la souffrance pour quelque chose qui n'est pas présente dans la réalité, mais en nous-mêmes.
Prenons comme exemple la peur de parler en public, l'une des plus courantes dans la population, qui peut être liée à la peur de ne pas être accepté par les auditeurs et de ne pas répondre à leurs attentes, générant des critiques. La peur des relations amoureuses peut en fait être le reflet de la peur d'être abandonné. Le gros problème est que de telles peurs ont tendance à être des obstacles à une vie bien remplie et une série d'opportunités peut être perdue si nous ne savons pas comment les gérer de manière productive, en plus de générer une série de sentiments qui compromettre notre bien-être.
Avec la peur de la mort, la même chose se produit.
Notre plaque funéraire à l'image d'une colombe offre une manière paisible de garder vos proches près de vous. Personnalisez-la avec une photo du défunt.
Quelles sont les racines possibles derrière cette peur de la mort ?
L'inconnu peut être terrifiant, tout le monde le sait. C'est l'un des principaux facteurs qui rendent l'idée de la mort si effrayante, mais ce n'est pas le seul. D'où vient donc cette peur ? Vous êtes-vous déjà arrêté pour y penser ? Cette réflexion est la bienvenue car toute peur ne peut être soulagée qu'en se plongeant dans les déclencheurs qui génèrent le sentiment de menace.
Il est courant que les pères et les mères craignent la mort parce qu'ils s'inquiètent pour leurs enfants. C'est peut-être votre cas. Beaucoup disent qu'ils commencent à adopter des attitudes plus prudentes après être devenus parents, car la crainte, en réalité, est de laisser leurs enfants sans revenus ni protection. Cela se produit surtout lorsque l'enfant est encore en bas âge, mais cela peut durer toute une vie. De cette façon, l'enfant vivrait seul au monde sans quelqu'un qui l'aime dans la même proportion que celle de la mère ou du père.
Ce sentiment peut aussi se manifester par une peur de tomber malade et de laisser les enfants sans soins, même pour un temps. Il existe des variantes : le fils qui a peur de mourir et de faire souffrir ses parents, ou la femme qui craint la mort pour ne pas laisser son mari seul ou inversement. Dans tous les cas, l’idée seulement de la peur inflige du chagrin et de la tristesse à l'autre.
Il y a aussi la peur de ne pas vivre une vie vraiment satisfaisante, ou d'arriver à son lit de mort sans avoir laissé un héritage. La peur, dans ce cas, est de la vie. C'est de ne pas avoir l'opportunité de bien vivre, de ne pas avoir suffisamment conquis ou apprécié le monde et la vie.
Beaucoup disent qu'ils ne craignent pas la mort en soi, mais craignent plutôt une mort tragique ou une mort douloureuse. Et quelle est la preuve qu’une telle mort arrivera vraiment ?
La peur y est davantage liée à la douleur et à la souffrance physique et émotionnelle. Il s'agit peut-être d'une variété de peur qui afflige tout le monde, car il est également naturel pour nous d'éviter de vivre des expériences douloureuses. C'est ce qui motive de nombreuses personnes à se lever à 6 heures du matin pour aller à la salle de sport et courir sur un tapis roulant même si elles ne le veulent pas, ou se déshabiller entièrement devant un médecin pour un examen embarrassant.
Nous voulons tous une bonne qualité de vie, en santé et plein d’énergie, et nous espérons toujours que notre expérience de la mort sera douce et paisible. Souvent, la seule pensée d'une mort terrible suffirait à provoquer de l'anxiété ou de l'angoisse.
Culturellement, nous n'avons pas l'habitude d'affronter la mort. Lorsque quelqu'un aborde ce sujet, il est courant qu'il soit interrompu. Le mot même « mort » est déjà perçu comme sombre et ténébreux. Mais quelle que soit la source de la peur, il est important de se rappeler que la mort fait partie du processus de la vie. C'est la conclusion de tous nos projets humains et la fin de toutes nos relations. Cela peut sembler difficile d'affronter cette fin de la vie. Cependant, c'est la réalité et, tôt ou tard, nous devrons tous y faire face.
Comment vaincre la peur de la mort ?
On peut comprendre la peur de laisser un enfant, surtout lorsqu’on est déjà parent. Autant la mort est un tabou, autant il est important d'en parler avec les enfants. Quiconque pense ne rien connaître du sujet se trompe, car la mort est représentée dans des films, des livres et des dessins, souvent symboliquement et souvent explicitement.
Beaucoup imaginent que le courage est le contraire de la peur, mais en réalité c'est la foi. Et tout comme il faut parler de la mort, il faut aussi nourrir la conviction que tout ira bien. Vous voyez, même si nous essayons d'agir toujours avec soin et prudence, tout n'est pas sous notre contrôle. Si nous évitons de prendre l'avion par peur d'un accident, la peur nous fait fuir et nous empêche de profiter du voyage. Si nous avons la conviction que tout se passera bien sur le vol, nous y faisons face. Et c'est cette foi que nous devons nourrir afin que nous puissions faire face à la peur d'une manière plus saine.
La foi que nous irons au travail en toute sécurité, que nous ne serons pas victimes de violences de rue et qu'en fin de compte, nous serons à nouveau aux côtés de ceux que nous aimons, que ce soit un enfant, une mère , un père ou un partenaire aimant, est ce qui doit vous motiver.
Nous comprenons aussi votre peur de ne pas vivre une vie pleinement satisfaisante. Vous êtes constamment en contact avec du contenu qui peut vous faire sentir que vous passez à côté du meilleur de la vie, que ce soit à travers les réseaux sociaux, les films et autres formats qui vous exposent à une vie glamour pleine d'expériences que vous ne semblez pas faire une partie de votre réalité. Il est nécessaire de prendre le contrôle de votre propre vie et de faire des choix conscients qui vous permettent de vivre la meilleure vie maintenant au lieu de s'inquiéter de l'avenir d'une trajectoire qui peut prendre des décennies à se matérialiser.
Soyez conscient de votre finitude, mais vivez le moment présent afin que vos actions aient un sens personnel pour vous. Entourez-vous de personnes qui rendent votre vie plus colorée. Fixez-vous des objectifs qui sont importants pour vous. Si votre rêve est de visiter une île de la province d'Indonésie, planifiez à l'avance. Si votre rêve est d'ouvrir une entreprise, étudiez pour cela. Fixez-vous des objectifs réalistes et agissez pour vous rapprocher chaque jour de ces réalisations. Et puis, lorsque le moment de votre mort approchera, vous serez complètement sûr d'avoir vécu exactement comme vous le vouliez.
Personne ne sait ce qui se passe après la mort, et peut-être personne ne le saura jamais, pourtant il est possible d'alléger le poids de la possibilité de la mort, que ce soit la vôtre ou celle de quelqu'un d'autre, grâce à vos croyances personnelles ou à votre spiritualité. Même si vous ne croyez pas à la vie spirituelle ou à l'au-delà, et pensez que c'est le point final de tout cycle, c'est aussi une croyance. Lorsque vous atteignez la fin de votre vie, rappelez-vous que vous aurez atteint votre objectif ici. Vous aurez sans aucun doute eu un impact sur au moins une vie et fait une différence dans la trajectoire de quelqu'un. Vous vous souviendrez. Et cela suffit pour avoir vécu avec du sens.
Alors n'attendez pas pour le regretter quand vous n'aurez plus le temps. Vivez aujourd'hui, vivez comme vous le souhaitez et comme cela vous rend heureux. Soyez présent dans la vie des gens que vous aimez et dites-leur ce que vous ressentez pour eux. Quand il est temps de dire au revoir à votre vie, vous n'emporterez pas ce genre de sentiment avec vous. Et puis, sûrement, vous y arriverez avec un seul regret : celui de ne pas pouvoir recommencer à revivre votre belle vie, mais avec la certitude que vous avez vécu et valorisé chaque instant.
Pourquoi le sujet de la mort est-il si difficile à aborder ?
Si vous vous arrêtez un moment pour réfléchir, vous allez remarquer que l'influence de la culture sur votre vie est énorme. Lorsque le sujet à aborder est la mort, cela devient plus clair. A peine, lors d'un déjeuner dominical, avec toute la famille réunie autour de la table, il n’est pas évident d’aborder le thème « où va-t-on après la mort ? ». Ou, lors d'un premier rendez-vous très attendu, il est pratiquement impossible de discuter de « comment vais-je surmonter la mort de la personne que j'aime le plus ? ».
Et pourtant, la mort est la seule certitude dans la vie !
Vous avez l’habitude de penser comment ce serait bien si vous pouviez rester ensemble pour toujours avec ceux que vous aimez, si vous pouviez éliminer toute douleur qui afflige vos proches après votre départ, etc. Mais malheureusement, ce n'est pas possible.
Alors pourquoi ne développez-vous pas l'habitude de vous arrêter pour réfléchir à ces questions cruciales pour votre propre vie ?
C’est sans doute parce que parler de mort est synonyme de chagrin, c'est parler de douleur, de manque et de nostalgie. Et personne n'aime parler de sujets qui suscitent tristesse et angoisse. Il est logique que nous voulions garder ces conversations sous le tapis et ne les traiter que lorsque la situation se présente.
Mais, d'un autre côté, remettre à plus tard la réflexion sur quelque chose sur laquelle vous n'avez aucun contrôle semble un peu déloyal envers vous-mêmes, n’est-ce pas ?
Moins vous parlerez de la mort et des souffrances qu'elle provoque, moins vous serez préparés à la supporter quand elle arrivera. D'accord, mais qu'est-ce que cela signifie d'être préparé à de tels sentiments ? C'est pouvoir comprendre que tôt ou tard, vous serez confrontés à ces événements, et qu'il y a différentes manières de souffrir face à la perte d'un être cher, et surtout qu'il n'y a aucune possibilité de ne pas en souffrir.
Chaque jour, vous avez l'occasion d'exercer l'identification et la validation de vos sentiments, pensant qu'il y a des situations et des faits qui ne sont pas toujours résolus rapidement. Ainsi, la souffrance, la tristesse et la frustration sont aussi des sentiments qui sont importants pour votre croissance et qui vous prépareront à des situations difficiles à affronter, mais que vous pouvez traverser.
Pourquoi la mort et le deuil nous font aussi mal ?
Nous venons de voir que la mort n'est pas un sujet que les gens aiment. Elle éveille malaise et angoisse pour certains, questions et curiosités pour d'autres. La plupart d’entre vous ont toujours considéré la mort comme très injuste. Vous êtes nés, vous avez grandi, vous avez appris, vous avez construit toute une vie, une famille, avez eu des enfants, etc. Vous établissez des liens d'amour et d'amitié entre vous. Vous travaillez, vous étudiez, vous vivez des expériences, des sourires de joie et des larmes de tristesse ou de douleur. Vous vieillissez, mûrissez et tout cela est soutenu par la reconnaissance de qui vous êtes. Vous reconnaissez les capacités, les caractéristiques et les potentiels proportionnellement à la reconnaissance des angoisses, des impossibilités, des déficiences et des distorsions. Vous gagnez et vous perdez, et la mort représente la perte de tout ce que vous avez gagné.
La mort est le résultat d'un cycle et il y a une vie après la mort, même si ce n’est qu’à travers les souvenirs et la mémoire de la personne qui est partie. Les réalisations créées par l'être cher arrivé en fin de vie le rendent honoré par la nostalgie. La mort n'est pénible que pour ceux qui l'attendent. Vous ne devriez pas vivre conditionnellement à la mort, mais il est inévitable que la possibilité de mourir vous fasse apprécier la vie et ce que vous vivez.
La mort est la célébration de la vie et pour ceux qui restent, il est important de se re-signifier par l'absence de ceux qui sont partis. Pas étonnant que les gens disent que "c'était pour le mieux", parce que la maladie, la douleur, la souffrance sont ici, et mourir est l'annulation de tout mal. La rédemption nécessaire au passage du tourment à la paix éternelle.
Les messes à la mémoire des défunts remontent au IVe siècle, mais c'est au siècle suivant que l'église commence à consacrer une journée à cette célébration. Cette culture d'avoir une journée pour honorer les morts varie selon le lieu et la religion. Au Mexique, par exemple, la journée est festive.
La fête des morts est le jour pour célébrer la vie. La vie de ceux qui étaient et, surtout, de ceux qui sont restés. Il est important de se souvenir de l'amour et de l'affection pour celui qui est parti. Renouveler la force des membres de la famille, cultiver l'image de ceux qui sont morts est une tentative de surmonter la douleur de la perte et de combler les bords et les blessures laissés par cette mort. Une manière d'élaborer intérieurement les violences subies, car si la mort est une rupture pour ceux qui restent, elle doit une fois être comprise comme des re-significations de l'existence elle-même.
Vous devez prêter attention au processus de deuil, qui est inévitable. Mais s'il se prolonge, il peut avoir des conséquences affectivement négatives. Le deuil survient juste après le décès d'un être cher et est un ensemble de sentiments et d'émotions qui demandent du temps pour être assimilés, chacun à son heure et au vu des blessures subies. Mais, dans la plupart des cas, les sentiments sont vécus comme la plupart des gens. Il y a ceux qui évitent de parler de la mort d'un être cher, ils ne vont pas aux veillées et aux cimetières. Une façon de faire face à cette perte. Ils parviennent à passer à autre chose et n'ont pas de sentiment de manque, mais ce manque est rempli de bons souvenirs. Mais d'autres personnes restent ancrées et restent dans ce deuil. La perte est niée et ils ne peuvent accepter la dure réalité de l'absence de la personne décédée. Beaucoup sont aigris, dans un état de mélancolie et apathique à la vie elle-même. Ils se reprochent d'avoir dit quelque chose ou des choses qu'ils n'ont pas faites pour la personne qui est partie. L'angoisse de la solitude envahit la vie de la personne qui devient incrédule et se lâche. Les moments dépressifs sont communs à tous les deuils, mais en cas de deuil permanent, les périodes dépressives sont plus fréquentes jusqu'à devenir constantes, conduisant la personne à s'isoler et même à tenter un suicide. Dans tous les cas, l'aide d'un professionnel spécialisé pourra être nécessaire.
Le deuil d’un proche ou d’un être très cher doit être vécu, sans restrictions. Autrement dit, pleurer, souffrir et se souvenir des situations vécues à ses côtés. Abandonnez l'égoïsme de l'avoir à vos côtés, car dans cette vie, rien n'est éternel. Cultivez votre vie et faites le nécessaire pour être heureux et commencer un nouveau voyage, sachant que vous n'êtes pas seul. Rien de mieux pour vanter le respect de celui qui est parti, c'est de continuer sa propre vie.
Pour aider à mieux porter le deuil, les hommes ont mis en place l’utilisation de divers objets funéraires.
La place des objets et autres monuments funéraires dans le processus du deuil
Dans de nombreuses cultures et traditions, les pierres tombales, les plaques funéraires, les cercueils, les urnes funéraires, les fleurs et bien d’autres, sont au cœur des cérémonies qui entourent le décès d’un être cher. Ces différents objets sont utilisés pour rendre un hommage mérité aux défunts, et de leur témoigner notre affection d’une manière digne et respectueuse.
Dans certaines cultures par exemple, les monuments funéraires comme les pierres tombales et les plaques funéraires doivent être fabriqués avec la plus grande attention possible, et même dans certains cas, ils doivent être assez personnalisés, uniques, authentiques et originaux, souvent avec une photo de la personne décédée.
Les monuments funéraires sont pleins de symboles et de significations, et il y a plusieurs raisons qui font en sorte qu’ils sont de plus en plus adoptés pour des cérémonies funéraires. Parmi ces nombreuses raisons, on peut noter le fait qu’ils aident certainement à mieux supporter la douleur du deuil.
Par exemple, en aidant à mieux honorer la personne décédée, vous avez la conscience beaucoup plus tranquille, surtout lorsque vous savez que vous avez fait de votre mieux pour accompagner l’être cher dans sa dernière demeure. Les plaques funéraires par exemple ne sont pas de simples décorations, comme certains peuvent le penser. C’est une marque d’honneur et de respect que vous accordez à votre proche décédé, qui vous rappellera toujours les bons moments passés ensemble. Les plaques funéraires peuvent incarner jusqu’à la personnalité de la personne décédé, et les proches s’en servent souvent pour des souvenirs ou encore pour d’autres fins.
Les plaques funéraires sont aussi des monuments qui aident à offrir de l’affection aux proches du défunt, et c’est l’une des raisons pour lesquelles un accent particulier est accordé à leur personnalisation. Certaines personnes inscrivent même des messages qui symbolisent tout l’amour qu’elles ont pu ressentir pour le défunt, et que ce sentiment restera pour toujours. Les plaques funéraires aident pour soulager le deuil et les proches endeuillés.
Aussi, il est utile de comprendre que la perte d’un être cher affecte très profondément la psychologie de ceux que vous laissez derrière vous. Vos proches se sentent tristes, et très souvent dans le déni. Pendant ces moments douloureux, grâce aux plaques funéraires personnalisées, une méditation ou encore des cérémonies sur la tombe de la personne décédée permettra aux proches de mieux évacuer leurs émotions. Les plaques funéraires et tous ces monuments funéraires peuvent ainsi être considérés comme un lien qui existe toujours entre la personne décédée et ses proches, même malgré la mort.
Dans certains cas, il peut être très important de connaître les différentes phases du deuil, afin de mieux le comprendre, et si possible vous remettre de la douleur beaucoup plus sainement et rapidement.
Quelles sont les différentes phases de deuil ?
Plusieurs auteurs ont traité le sujet, comme Sigmund Freud, le père de la psychanalyse, plusieurs philosophes, des médecins et des écrivains, etc., mais c'est la psychiatre suisse Elizabeth Kübler-Ross, qui, dans son livre publié depuis 1969, a souligné les cinq étapes du deuil, de la perte. Les voici :
C’est quand on a le sentiment que la personne qu'on a perdue peut franchir la porte à tout moment. On a du mal à accepter son absence. C'est un mécanisme de défense, un moment où l'on a du mal à croire que c'est vraiment arrivé, que la personne n’y est plus. À ce stade, on entend souvent des phrases telles que : Cela ne peut pas être possible ! Il y a certainement une erreur ! Etc.
C’est lorsque la non-acceptation laisse place à la révolte. Des sentiments tels que la colère et le ressentiment sont presque toujours projetés dans un environnement extérieur, comme si le monde, les autres, Dieu, étaient la cause de la souffrance et de la perte de la personne décédée. En ce moment, on entend des phrases telles que : Pourquoi moi ? Ce n’est pas juste! La vie est cruelle ! Etc.
C’est une phase dans laquelle on ferait tout pour que les choses redeviennent comme avant, sans perte, sans douleur, avec la présence de la personne décédée. Ici, les personnes endeuillées mènent une sorte de négociation, souvent uniquement interne, parfois de nature religieuse. C’est comme si on négociait quelque chose avec Dieu, la vie, la personne disparue, etc. Les phrases de négociation les plus courantes sont : « Laissez-moi vivre seulement jusqu'à ce que mes enfants grandissent », « Je vais changer, je vais arrêter de boire et tout faire tout de suite ».
C’est le moment de profonde tristesse, de désolation, de désespoir, de peur. Ici se produit une période d'introspection et de besoin d'isolement. Les pleurs constantes sont souvent accompagnées de pensées telles que « Plus rien ne vaut la peine » ou « Je ne peux pas le supporter », « ça ne sert plus à rien de vive », etc.
C’est lorsque la souffrance n'est plus si handicapante, et qu'on apprend de la douleur, on se prépare à avancer, à reprendre le cours normal de votre vie et de nos activités. L'esprit plus clair laisse place à des pensées telles que « tout ira bien ».
Ces cinq phases font partie du deuil, mais la durée et l'intensité de chaque phase varient en fonction de plusieurs paramètres et en fonction de chaque individu. En plus de la manière personnelle de gérer leurs sentiments et leurs émotions, la mort n'apporte pas seulement la perte d'un être cher, mais tout le contexte, comme leurs fonctions dans une maison, leurs activités, et cela influencera l'adaptation de votre vie privée après le deuil.
Savoir gérer les différentes phases du deuil
Pendant la période de deuil, il est fortement déconseillé de prendre des décisions importantes. Mais il est important qu'il y ait de la place pour chacun. Nous pouvons parler, lire, échanger des expériences et, surtout, ne pas avoir honte d’exprimer notre douleur. Cette douleur n'est surtout pas exagérée, elle est à notre niveau ! Et en plus, elle est transitoire.
Si l'ombre du chagrin peut rester sur nous, la douleur quant à elle peut être atténuée. Les proches sont très importants dans cette situation, car ils peuvent nous accueillir, essayer de nous comprendre, sans renier la condition du deuil ; ils doivent surtout être tolérants, rester à nos côtés, dans une condition de soutien ou de disponibilité, permettant à l’endeuillé de s'exprimer et de s'ouvrir, afin de ne pas se sentir seul.
Qu’en pensent les spécialistes à propos de la douleur du deuil ?
Randolph Nesse, Professeur au Center for Evolution an Medicine de l’Université de l’Arizona aux USA, pense que le deuil a un sens qui peut très bien s’expliquer. Tout comme une douleur intense dans le côté gauche de la poitrine fait penser à un problème cardiaque et une éventuelle demande d’aide médicale, une dépression suite à un décès est aussi une forme de demander de l’aide, particulièrement de ceux qui ont déjà connu une telle situation.
Un autre spécialiste, John Archer, de l’Université de Lancashire au Royaume Uni, pense plutôt le contraire. Pour lui, le deuil n’est en fait qu’une mauvaise adaptation, suite à la perte d’un être cher. Certaines personnes vont même perdre tout désir de vivre (manque d’appétit, manque de désir sexuel, une grande dépression, etc.), ce qui s’en suit souvent d’une baisse de l’immunité de l’organisme. Certaines personnes peuvent même perdre leur vie suite au décès de leur partenaire.
John Archer pense donc que le deuil ne serait qu’un effet secondaire directement lié à la façon dont on entretien la relation avec l’être disparu. Le deuil est lié à la manière qu’ont les hommes de s’aimer et de dépendre émotionnellement les uns des autres.
Certains spécialistes encore soulignent le fait que la souffrance humaine face à la mort d’un être cher n’est conditionnée que par la personne qui subit le deuil, en fonction de sa personnalité, de sa culture, de ses propres expériences, et de certains aspects personnels. Ils soulignent cependant que la culture et la religion jouent un grand rôle dans les manifestations de la douleur, en aidant à mieux digérer le deuil.
La place des religions dans le processus du deuil
Historiquement, les religions ont toujours été le refuge qui protégeait l’homme de la peur de la mort. La plupart des courants religieux contiennent dans leur symbolisme le sentiment de protection et d’adaptation face à la mort.
Le rôle de certaines religions par rapport aux différentes réalités de la mort, est de faire passer le message concret que la mort d’une personne ne marque surtout pas la fin de l’existence et que, d’une manière certaine, la vie continue son cours après la mort physique.
Les religions ont une place importante à jouer dans le processus de la compréhension de la mort, et pour aider à mieux supporter la douleur du deuil. Toutes les religions mettent en avant l’existence d’un être suprême, qui est juste et qui a su parfaire toute chose. Si cet être suprême a créé la mort, elle est certainement bien plus importante que la vie elle-même. Basée sur cette compréhension, les religions peuvent ainsi contribuer à aider à mieux appréhender la mort comme un phénomène naturel qui dépend d’un être en qui nous faisons tous confiance, et qui fait tout pour notre bien.
Dans l’interprétation même des grands courants religieux, mourir c’est passer d’une dimension de la vie à une autre, et de vivre désormais avec des guides et des esprits.
Dans la plupart des religions, la mort est perçue comme le commencement d’une nouvelle vie. Dans certaines courants religieux comme le bouddhisme par exemple, après le décès d’un être proche, on vous prépare à entrer dans le monde de l’au-delà avec des vêtements adaptés et bien d’autres choses qui pourraient vous être utiles là-bas.
Dans le christianisme, on pense qu’après la mort, si vous avez mené une vie pieuse, vous séjournerez éternellement auprès de Dieu, dans la béatitude divine, et vous allez récolter le fruit du bien que vous avez fait sur la terre pendant votre séjour ici. Les chrétiens vivent constamment dans l’espoir d’aller dans le Royaume de Dieu après leur mort, ce qui non seulement aide à mieux vivre, mais aussi, cela aide vos proches à atténuer la douleur du deuil lorsqu’ils savent que vous résidez désormais auprès du Tout-Puissant. On célèbre même le jour des morts, et il y a plusieurs cérémonies pour les morts, afin que leurs âmes reposent en paix.
Dans l’Islam, diverses cérémonies sont faites après votre décès, afin qu’Allah pardonne tous vos péchés et vous accueille auprès de lui pour l’éternité.
Les religions aident à voir d’un autre angle le phénomène de la mort, et surtout aident à mieux lâcher prise sur la tristesse et le chagrin que cela procure. Le simple fait de savoir qu’un proche décédé vit dans un endroit meilleur qu’est le « Paradis » ou le « Royaume de Dieu » aide à libérer l’âme du défunt et de se concentrer sur sa propre vie.
Les religions peuvent ainsi aider à comprendre que la mort fait partie de la vie.
Il y a plusieurs rituels qui accompagnent la mort, non seulement dans la religion, même dans les traditions humaines.
La mort et les rituels funéraires
Tous les peuples de toutes les cultures et traditions ritualisent leurs morts ou adoptent des pratiques similaires lorsqu’un être cher décède. Il existe dans toutes les civilisations, des archives archéologiques des pratiques et rituels funéraires remontant à la préhistoire, suggérant que l'émergence de la conscience a coïncidé avec l'émergence d'un souci de finitude à travers des soins ritualisés pour les êtres chers décédés.
Le sujet du rituel funéraire est profondément lié à la manière dont les gens comprennent les problèmes liés au déroulement même de la vie sociale dont la mort fait partie. En ce sens, on comprend que la forme de ritualisation d'une société révèle comment cette société s'organise et se comporte face à la perte d’une personne chère, et comment elle symbolise ces moments. Dès lors, penser à un rituel funéraire, c'est accepter de vivre avec une souffrance psychique, qui vient avec de graves implications pour la santé mentale des individus et pour la vie sociale.
Plusieurs études sur les rituels humains y compris le rituel funéraire, ont montré que les changements tout au long de la vie doivent être marqués, ponctués, et que les pratiques rituelles ont tendance à aider à symboliser et accepter la mort, et à élaborer des plans pour vivre sans la personne.
Que faire pour accepter la mort comme une partie intégrante de la vie ?
L’une des plus grandes douleurs du deuil est souvent due au fait que les proches ne savent pas où l’être aimé est allé, avec qui il est ou encore ce qu’il fait, même si on sait que les personnes décédées vont toujours quelque part : auprès de Dieu, ou dans le monde spirituel. Mais quand est-il des courants non religieux ?
La vie a besoin d'être renouvelée, c’est ce qui est important à comprendre dans un premier temps. La mort est un phénomène naturel et si elle existe, c’est certainement pour protéger la vie. La mort est en réalité le changement qui établit le renouveau. Quand un proche meurt, beaucoup de choses changent dans la structure de vie sociale de ceux qui restent et, étant une loi naturelle, c'est toujours un bien, même si les gens ne veulent pas l'accepter.
Cela ne servirait absolument à rien de vouloir lutter contre la mort, ou de ne pas l’accepter, malgré la douleur qu’elle génère. Rien n'est plus inutile et fait plus mal que la révolte. Rappelez-vous que personne n’a aucun pouvoir sur la vie ou la mort.
La deuxième chose à comprendre est que la mort n’est qu’une porte d’entrée vers une nouvelle vie. Que vous le croyez ou non, de nombreuses expériences réelles font penser à une éventuelle vie après la mort, une vie aussi réelle que la présente. C’est ici que certaines religions savent très bien comprendre ce phénomène naturel qu’est la mort et aider à mieux surmonter la douleur.
Pour mieux intégrer et accepter la perte d’un être cher, vous devez être capable de répondre à ces questions, et nous donnons ici quelques astuces pour cela :
Comment gérez-vous la mort et la perte d'un être cher quand la douleur est si forte ?
Comment pouvez-vous quitter les personnes que vous avez aimées et que vous aimez toujours autant ?
Comment accepter le fait de ne plus jamais revoir ces personnes ?
Comment accepter l'idée de la perte, de la mort ?
De nombreux psychologues et autres spécialistes en la matière pensent que c’est l’ignorance et la peur de la mort qui peut facilement détruire votre vie. Voici quelques astuces qui peuvent vous aider à surmonter la perte :
- Vaincre la peur de la mort
Vous êtes arrivés seuls dans ce monde et vous allez partir seuls. Il en va de même pour tous les êtres humains sur cette planète. Accepter l'idée que rien ne dure éternellement et y insister le plus souvent possible vous aidera à faire face à la mort de vos proches et pourquoi pas, à votre propre mort de manière vraiment positive et apaisée.
- Comprendre que vous êtes des êtres spirituels ayant une expérience humaine
La mort n'est pas la fin. En tant qu'humains, nous avons appris à faire davantage confiance aux choses qui peuvent être touchées, ressenties, senties ou vues, mais il y a des choses qui ne peuvent pas être vues, mais cela ne veut pas dire qu'elles n'existent pas. Il existe un monde qui n'est pas visible à l'œil nu, un monde très puissant, un monde dont nous sommes tous originaires et un monde dans lequel nous retournons au moment où nous quittons notre corps physique.
- Vous retournez à la source de la vie
C’est vraiment un apaisement en plus de permettre de trouver du réconfort dans ce genre de pensées. Imaginez, pendant les 9 premiers mois de votre vie, lorsque vous étiez encore dans le ventre de votre mère, on vous offrait toute la nourriture dont vous aviez besoin, tout l'amour et les soins nécessaires à votre survie, et pourquoi pas la même chose dans cette superbe vie ? Préparez-vous pour votre départ !
Nous sommes des êtres spirituels ayant une expérience humaine, après tout, et non l'inverse. Réalisez simplement l'origine dont vous êtes originaire.
- Comprendre que la mort fait partie de la vie
Nous devons célébrer la perte d'un être cher comme nous célébrons sa naissance, pour m'avoir fait confiance, les personnes qui ont vécu sur cette planète, les personnes que nous aimons et aimons encore tant veulent se souvenir des nombreux moments magnifiques et précieux que nous avons passés avec eux. et nous nous concentrons sur cela et rien d'autre.
- Accepter de faire le deuil
Apprenez à apprivoiser la mort !
Quand quelqu'un que vous aimez quitte ce monde, vous avez l'impression que la fin du monde est arrivée et si vous y pensez, c'est un peu comme la fin du monde. La fin du monde telle que vous la connaissiez, la fin du monde pour vous et cette belle personne.
Maintenant, vous vivrez dans un monde complètement différent, un nouveau monde où la personne que vous aimez tant n'en fera plus partie, du moins pas physiquement, mais cela ne veut pas dire qu'elle ne sera plus là avec vous. .
Souhaitez-vous que votre famille soit triste et malheureuse lorsque vous mourrez ou voudriez-vous qu'elle continue de profiter de la vie et de chérir chaque instant qu'il lui reste sur cette planète ?
Le deuil fait partie du processus de guérison et il est normal d'être triste, il est normal de pleurer, mais gardez à l'esprit que la vie continue et que si vous ne trouvez pas la force intérieure pour abandonner la tristesse et revenir à la vie, vous allez manquer de nombreux moments précieux et magnifiques avec de nombreuses personnes qui sont encore autour de vous et qui souhaitent partager leur amour avec vous.
Il peut être très dangereux d'être en mode deuil trop longtemps et si vous restez bloqué à ce niveau, non seulement vous perdrez votre vie en vous sentant déprimé et malheureux, mais vous attristerez également les nombreuses belles personnes qui sont présentes dans votre vie.
Lâcher prise ne veut pas dire les oublier. En abandonnant le chagrin, vous réalisez qu'il y a tellement plus à être heureux et qu'il y a beaucoup de belles personnes autour de vous qui vous aiment et se soucient de vous, et vous voulez profiter et exprimer votre gratitude pour leur présence, car ils auront besoin lâcher prise aussi ce monde et vous ne voulez pas les manquer.
- Il faut libérer l’âme de la personne décédée, et lui permettre sa nouvelle vie
La non-conformité à la situation d’un décès, les lamentations, l'évocation répétée d'un cher décédé, la tristesse, le chagrin et la douleur peuvent atteindre l'âme du défunt dans le monde spirituel, et lui rendre difficile l'adaptation à sa nouvelle vie. Il ressent également un sentiment de perte, le besoin d'aller de l'avant, mais il ne peut pas à cause des pensées de ceux qui restent, de leur tristesse et de leur douleur.
Si la personne décédée ne parvient pas à surmonter ce moment difficile, il retournera dans le foyer qu'il a laissé derrière lui et y restera. Mêlé de larmes, sans la force de continuer son voyage vers l’autre monde. Cela créera une atmosphère qui contribuera à augmenter le malheur de chacun, et ce n’est certainement pas ce que vous voulez, ni pour vous, ni pour le défunt.
Petite astuce pratique pour surmonter la douleur d’un être cher
Si vous souffrez de la séparation, si la personne que vous aimez est déjà partie, le conseil que nous pouvons vous donner est de la libérer au plus vite. Pour le faire, vous pouvez par exemple vous retirer dans un endroit calme, visualiser en image cette personne devant vous, serrez-la dans vos bras, dites-lui tout ce que votre cœur ressent, même si cela doit se faire dans la douleur. Parlez de combien vous l'aimez et du bien que vous lui voulez. Puis dans une atmosphère détendue, dites-lui au revoir avec joie, et quand vous vous souviendrez d'elle, voyez-la heureuse et dans la béatitude divine.
La mort n'est pas la fin de tout, et surtout pas la fin de la vie. La séparation n’est que temporaire. Laissez le défunt s’avancer et permettez-vous de vivre en paix, en respectant le deuil. Vous verrez combien cette astuce vous aidera à mieux reprendre votre vie en main.
Il est aussi utile de comprendre que la mort est le résultat d'un cycle ou d’un processus, et il y a une vie après la mort, même si c’est à travers les souvenirs et en mémoire de la personne qui est partie.
Aussi, il vaut mieux comprendre que ma mort n'est qu'un changement d'état, c’est le début d’une nouvelle vie.
Lorsque nous mourrons, nous commençons à vivre dans une autre dimension.
Comment gérer la perte d'un partenaire animal ?
Depuis toujours, la mort a toujours été difficile à digérer, même quand il s’agit de celle d’un animal avec lequel vous avez déjà certaines affinités. Ce n'est pas facile de gérer la séparation, encore moins de vivre avec une mort imminente quand notre poilu est malade ou âgé. Cela s'appelle le deuil précoce, comme l'explique les psychologues : « Chaque personne réagit différemment. Il peut y avoir de la colère, du déni, quand malgré toutes les preuves le propriétaire croit toujours au miracle. En thérapie, nous cherchons à transformer ces sentiments en compréhension plutôt qu'en acceptation ».
Selon ces psychologues, il existe cette fausse illusion que nous vivrons tous éternellement, ce qui n'est pas la réalité, encore moins lorsqu'il s'agit d'animaux de compagnie, dont l'espérance de vie est bien plus courte que la nôtre. La douleur de perdre un animal à fourrure peut être la même que celle d'un être cher humain, ou dépendra selon le niveau de lien entre le propriétaire et l'animal.
Et qu'est-ce qui se passerait si mon animal de compagnie prend de l’âge ?
Vivre avec un animal âgé est un grand privilège : le degré de synergie entre le propriétaire et l'animal atteint le degré maximum et ils se comprennent juste en regardant. Même si le poilu a des limitations physiques ou est malade, il est important de maintenir des routines qui sont bonnes pour lui, en respectant toujours les directives du vétérinaire, bien sûr. Peut-être que les longues promenades ne sont plus possibles, mais de courtes promenades, à un rythme plus lent, ou un simple bain de soleil, où il y a différentes odeurs et mouvements, qui améliorent la qualité de vie du vieil animal. Une bonne idée est d'investir dans des lits qui aident à soulager la douleur, et des mangeoires suspendues, qui facilitent l'alimentation et la prise d'eau.
Il est difficile d'accepter que la fin soit proche, surtout lorsque des maladies graves apparaissent. Que faire lorsque l'animal est en phase terminale ? Le laisser manger ses plats préférés, voyager dans les endroits qu'il aime le plus, le serrer dans vos bras et l'embrasser jusqu'à ce que son parfum s'imprègne de vos narines ? Il existe d'innombrables possibilités de dire au revoir petit à petit à vos poilus si importants dans votre vie, et profiter de ces moments peut aider à soulager, un peu, la douleur de la perte.
En ce qui concerne l’euthanasie de son animal de compagnie
Parce qu'il peut être nécessaire de faire face à l'une des plus grandes peurs de quelqu'un qui a un animal de compagnie : l'euthanasie, indiquée uniquement lorsque l'animal est dans une souffrance extrême, ne mange ni ne boit d'eau, ou en cas de maladie irréversible, lorsque les médicaments ne sont plus efficaces, ou encore quand il n'y a plus de dignité dans une vie qui était si pleine.
Prendre une telle décision est chargé de culpabilité et du « et si ? ». Et si je le fais mal ? Et s'il y avait un nouveau traitement, une chance, un miracle ? Les psychologues expliquent que le rôle du vétérinaire en ce moment est fondamental, car lui seul peut évaluer s'il y a un espoir ou la possibilité de nouvelles tentatives de traitement. La compréhension de « il n'y a rien d'autre à faire » se fait progressivement et, le moment venu, le propriétaire doit pouvoir choisir comment il veut dire au revoir à l'animal, à la maison ou à la clinique, et s'il veut enterrer le corps ou l'incinérer.
La décision d'euthanasie est toujours lourde de culpabilité et de douleur pour le propriétaire. D'autre part, aussi dur et difficile soit-il, cela peut être le soulagement que le poilu attend, et que seul son plus grand partenaire peut lui offrir.
Mais, il faut comprendre qu’il y a des personnes qui ne peuvent tout simplement pas intervenir dans des situations pareilles et préfèrent laisser la vie suivre son cours, malgré tant de souffrances pour tout le monde.
Dans les phases terminales, les vétérinaires proposent généralement un questionnaire qui permet au propriétaire de réfléchir sur l'état réel de son animal adoré.
Faut-il enterrer ou incinérer son animal de compagnie ?
Encore une fois, il s'agit d'une décision personnelle, bien que la crémation soit indiquée lorsque l'animal meurt de maladies contagieuses telles que la sporotrichose, la toxoplasmose, la rage et la leptospirose, par exemple. En général, la clinique vétérinaire elle-même appelle la mairie pour récupérer le corps de l'animal, qui sera incinéré contre paiement d'une redevance. Si le propriétaire souhaite conserver les cendres, il doit opter pour la crémation individuelle. Il existe également des cimetières exclusivement pour les animaux de compagnie, qui permettent même d'organiser une veillée, si la famille le souhaite.
Et les souvenirs ?
L'un des moments les plus douloureux après la mort de l'animal de compagnie est de rentrer à la maison et de voir son lit vide, les jouets et bols sans fonction, et le doute : que faire de tout ça ? Donner ce qui était si important pour le poilu peut aider d'autres animaux, y compris la médecine. Mais tout à son heure, disent les psychologues. Lorsque le propriétaire se sent prêt, il doit se débarrasser des objets et, s'il en ressent le besoin, garder l'un ou l'autre en souvenir.
Le respect du deuil de son animal de compagnie
Le respect du deuil de l’animal de compagnie par son propriétaire et sa famille est primordial. Dans l'Egypte ancienne, où les chiens et les chats étaient vénérés comme des dieux, les propriétaires se rasaient les sourcils à la mort de leurs animaux, exprimant ainsi leur douleur, comprise par les autres.
Ce n'est pas tout à fait comme ça par ici : il y a peu d'entreprises et d'employeurs qui se montrent solidaires du salarié qui a perdu un animal cher. « Oh, je ne comprends pas pourquoi il est comme ça, c'est juste un chien ou un chat» disent-ils.
La personne retourne travailler ou étudier, même sans conditions émotionnelles, car cette compréhension n'existe pas. Mais pour les psychologues, cela doit changer. « Il faut sensibiliser ces patrons sur le fait que c'est un vrai deuil. Cela ne peut pas être négligé. Voici le conseil : soutenez la douleur du prochain. Les animaux de compagnie jouent aujourd'hui un rôle différent et souvent plus important que de nombreux membres de la famille, et il n'y a pas de date limite pour la fin du deuil, car chaque personne réagit différemment à la perte.
Adopter un autre animal de compagnie est-il la solution ?
Essayer d'aider en offrant un autre animal n'est une bonne idée que si c'est le souhait de la personne en deuil, qui saura trouver chez le nouvel ami une motivation pour recommencer. Si vous avez perdu un animal de compagnie récemment et que la douleur ne disparaît pas aussi vite, envisagez de demander de l'aide à un psychologue, parlez à des amis et n'ayez pas honte d'admettre vos sentiments : perdre un être cher fait partie de la vie, et vous avez tous les droits pleurer et se sentir triste. Avec le temps, les bons souvenirs restent et là, vous avez la certitude d'un amour inconditionnel que seuls les poilus sont capables de vous donner.
Perte d'un être cher : comment faire face à l'absence et surmonter la douleur ?
La perte d'un être cher est une expérience dévastatrice pour la quasi-totalité des personnes. La nouvelle est toujours accueillie avec désespoir et une profonde tristesse, suivies de la peur d'un avenir sans sa présence.
Après tout, comment vivre son absence ? Comment profiter des bons moments vécus ensemble ? Comment traverser les difficultés de la vie sans le soutien de l’être cher ? La perspective d'une vie sans l'être aimé peut être intimidante, surtout lorsque le lien entre vous était si fort.
Le décès d'un être cher implique un grand changement dans la vie de la personne qui est restée. Elle ne vivra que dans les souvenirs, réchauffant son cœur avec la mémoire et les souvenirs de celui qui est décédé. En raison de l’absence de l’être cher, la maison se vide un peu, les journées un peu plus calmes et les projets d'avenir n'ont plus vie.
Comment donc gérer tout cela ?
Il faut tout d’abord comprendre les particularités du deuil. Le deuil est l'état émotionnel dans lequel se trouve une personne après la perte d'un être cher. Un sentiment de vide s'installe dans le cœur, comme si votre vie avait perdu un peu de sa raison d'être. Cela peut prendre des mois, voire plus d'un an, pour que ceux qui ont subi cette perte se sentent à nouveau bien.
Selon les médecins et autres spécialistes, les étapes du deuil sont une réponse émotionnelle attendue dans cette situation. Ainsi, elles doivent être ressenties et exprimées de manière saine afin que les personnes concernées soient en mesure de faire face à la perte d'un être cher.
Cependant, lorsqu'il n'est pas bien géré, le deuil devient un obstacle à la santé mentale et physique, à la carrière, aux relations, à la vie financière, aux objectifs personnels et à d'autres domaines de la vie. Cela peut conduire à des sentiments de solitude, de culpabilité, d'apathie, de perte d'identité et même d'idées suicidaires dans des cas rares.
Comment donc faire face au décès d'un proche ?
La mort d’une personne signifie la fin d'une relation amicale ou amoureuse. La fin des contacts quotidiens, des conversations face à face, des échanges d'expériences, des câlins et des bisous et des projets faits ensemble. Bien que la fin soit un concept que nous connaissons tous, il est toujours difficile de se préparer à ce moment fatidique et encore plus difficile de le gérer.
La façon dont chaque personne fait face à la perte d'un être cher est unique car elle dépend de la personnalité, de l'intelligence émotionnelle, des expériences de vie, de la foi et de l'intensité du lien affectif qui existait avec le défunt.
Comme ces éléments diffèrent d'un individu à l'autre, les étapes du deuil sont également ressenties différemment, même parmi les membres de la même famille. Certaines personnes souffrent pendant longtemps tandis que d'autres sont capables de gérer leurs émotions, et la souffrance du deuil est minimisée. De cette façon, ils sont capables de se consacrer aux tâches quotidiennes malgré la tristesse. De plus, toutes les personnes ne vivent pas toujours les cinq étapes du deuil dans le même ordre.
Bien que la fin soit douloureuse, il est possible d'apprendre à la gérer et à la vivre de manière plus saine. Découvrez ci-dessous nos conseils pour faire face à la perte d'un être cher.
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Permettez-vous d'être triste :
Permettez-vous de ressentir tous les sentiments qui surviennent avec le chagrin. Soyez triste, soyez en colère, etc. Si vous essayez de supprimer ce que vous ressentez, vous pouvez vous causer de graves complications émotionnelles, telles que le stress et l'anxiété. Il n'est pas mal de vivre en deuil. Il faut juste faire attention à ne pas persister dans émotions négatives pendant longtemps.
Ayez de la patience envers vous-même. S'il faut des semaines, des mois ou plus d'un an pour s'habituer à l'absence de votre proche, peu importe la durée du deuil, ce n'est pas un problème. Soyez patient avec vos revers émotionnels, vos pensées négatives et votre confusion sur la façon de vivre à partir de maintenant. Laissez le temps guérir vos blessures et vivez tous les jours de façon optimale.
- Souvenez-vous des bonnes choses et des bons moments passés avec le défunt
Lorsque la tristesse arrive, souvenez-vous des bonnes choses à propos de votre proche décédé. Revisitez les moments amusants et joyeux, ainsi que ceux qui approfondissaient votre relation. Ainsi, vous apprendrez à sourire lorsque vous vous souviendrez qu’il est déjà parti.
- Essayez de maintenir votre style de vie normal
Petit à petit, reprenez votre rythme de vie normal. Étudiez, travaillez, discutez, planifiez et rapportez. Évitez de faire des changements drastiques. Garder le style de vie tel qu'il était autrefois ajoute au sentiment de sécurité en cette période difficile.
Pardonnez-vous pour toutes les choses que vous auriez aimé dire ou faire, et que vous ne les aviez pas dites ou faites. La culpabilité exacerbe la tristesse d'une personne qui a perdu un être cher.
Ne pensez pas seulement à la perte de l’être cher. Allez au cinéma, apprenez une nouvelle compétence, partez en voyage et suivez un cours. En d'autres termes, diversifiez vos expériences afin que votre esprit soit distrait de la tristesse, même momentanément.
Lorsque vous auriez assez d’expérience, vous pouvez désormais réconforter quelqu’un d’autre dans la même situation.
Comment réconforter quelqu'un qui a perdu un être cher ?
Si un proche a perdu un être cher, vous pouvez l'aider à traverser cette expérience. À ce stade, il est essentiel que les amis et les autres membres de la famille soutiennent la personne endeuillée, surtout s'il montre une incapacité à surmonter la perte.
Proposez d'être à l'écoute de la personne pour lui faire part de ses sentiments. Parfois, les gens veulent juste se défouler et ne recherchent pas de solutions pratiques. Ne conseillez donc que lorsqu'il y a une demande sur ce qu'il faut faire.
Invitez la personne qui a besoin d'aide à marcher, voyager, faire un programme amusant à la maison, pratiquer un sport et d'autres activités qui peuvent être faites ensemble. Les invitations sont indispensables pour qu'elle reprenne progressivement ses engagements sociaux aux côtés d'autres proches.
Enfin, faites preuve de patience. Il est difficile de perdre un être cher, alors ne forcez pas les personnes endeuillées à faire ce qu'elles ne font pas. Ayez de l'empathie, comme si vous traversiez cette souffrance à sa place. De cette façon, vous aurez une nouvelle perspective sur ce qu'il ressent.
Traitement pour aider à la séparation d'un être cher
La perte d'un être cher pousse souvent de nombreuses personnes à suivre une thérapie. La difficulté à gérer ses émotions et l'idée que la personne est partie rendent le quotidien insupportable. Alors, chercher un professionnel pour vous aider dans cette démarche est une idée qui vous traverse souvent l'esprit. Mais ce n'est pas toujours le cas. Nombreux sont ceux qui préfèrent gérer la situation seuls ou qui sont tellement dévastés qu'ils ne savent pas quelles ressources sont à leur disposition.
Comme apprendre à gérer l'absence d'un être cher est un processus compliqué, plein de rechutes et de défis émotionnels, la thérapie est un outil qui aide les gens à vivre avec cette nouvelle réalité. La douleur est intense, mais elle peut être gérée de manière à ne pas provoquer de stagnation.
Nous conseillons toujours de vous faire accompagner, au lieu de chercher à expliquer ce qui vous arrive. La thérapie invite les gens à s'exprimer librement, en communiquant leurs pensées, leurs peurs et leurs difficultés. Le psychologue guide les patients dans leur réflexion sur leurs dilemmes et fournit également des conseils pertinents qui les aident à faire face aux situations négatives.
C'est ainsi qu'ils développent naturellement leurs compétences émotionnelles et approfondissent leur connaissance de soi. Se connaître est essentiel pour apprendre à contrôler ses émotions et son humeur, ainsi qu'à profiter des opportunités de la vie et à surmonter l'adversité.
La fin est douloureuse et l'ensemble des émotions négatives peut éclipser votre perspective du futur avec l'absence de l'être cher. Si vous êtes en deuil, n'hésitez pas à demander une aide psychologique.
En conclusion
Ce n'est pas toujours facile de dire définitivement au-revoir aux gens qui nous sont si chers, mais cela ne doit pas être difficile non plus. C’est vrai que certains deuils sont particulièrement difficiles, mais regarder les choses sous un angle différent peut vous aider à expérimenter des miracles dans votre vie, peut vous aider à comprendre la vie et la mort, et peut vous aider à voir comment tout se passe dans un ordre parfait et divin. De nombreux psychologues pensent que c’est votre peur, votre personnalité ou encore vos croyances au sujet de la mort qui vous font souffrir. Pourtant, ces pensées et ces croyances peuvent être dirigées vers ce qui vous procure le plus de bien, afin de vous permettre de mieux vivre votre vie.
Nous terminerons cet article avec la croyance que la conscience humaine actuelle n’est peut-être pas encore assez développée pour mieux comprendre les implications qui se cachent derrière la mort, et qu’un jour, nous serons capable de mieux accepter le concept de la mort, et peut-être même en être fier, tout en donnant une réelle importance à la vie dans ce monde.
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